LesBritanniques encerclent les derniers carrĂ©s de la Vieille Garde oĂč le gĂ©nĂ©ral Cambronne aurait prononcĂ© le fameux « mot de Cambronne », mais ce n’est qu’une lĂ©gende. La cavalerie prussienne s’est Ă©lancĂ©e Ă  la poursuite des dĂ©bris de l’armĂ©e quasi-invincible de NapolĂ©on Bonaparte. Pendant ce temps, Grouchy combattait un At-il Ă©tĂ© prononcĂ©, ce fameux mot, Peu d'hommes ont eu comme Cambronne le bonheur de survivre au dernier carrĂ©, et on doute qu'il en reste aujourd'hui. J'en connais un. Il s'appelle Antoine Deleau, et habite le village de Vicq, canton le CondĂ©, arrondissement de Valenciennes (Nord). C'est un honnĂȘte cultivateur, qui a Ă©tĂ© maire de sa commune, et qui IlAurait PrononcĂ© Son Fameux Mot À Waterloo - CodyCross La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 9 lettres et commence par la lettre C CodyCross Solution pour IL AURAIT PRONONCÉ SON FAMEUX MOT À WATERLOO de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. Plusieurs QuĂ©bĂ©cois sont surpris d’apprendre que la populaire expression Frapper son Waterloo est inconnue de nombreux Français. En fait, cette expression est la traduction de l’expression anglaise He met his Waterloo».L’expression trĂšs imagĂ©e Frapper son Waterloo signifie connaĂźtre un Ă©chec, rencontrer un obstacle infranchissable. Son emploi est trĂšs frĂ©quent au a frappĂ© son Waterloo !— Mitt Romney a frappĂ© son Waterloo lors de la derniĂšre campagne prĂ©sidentielle amĂ©ricaine de 2012.— Le BrĂ©sil a frappĂ© son Waterloo Ă  la derniĂšre coupe du monde de football.— En 2008, le capitalisme financier a frappĂ© son disons aussi pogner son Waterloo ». Dans ce contexte, le verbe passe-partout pogner signifie un murTirĂ©e de l’anglais hit a wall», l’expression frapper un mur est synonyme de frapper son Waterloo». Elle signifie ĂȘtre arrĂȘtĂ© dans ses projets, se buter Ă  un obstacle, essuyer un refus catĂ©gorique.— J’ai frappĂ© un mur avec mon dernier film. Je crois que ma carriĂšre est terminĂ©e.— J’ai dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  New York en 2008 dans le but de faire carriĂšre dans la finance. J’ai frappĂ© tout un mur avec la crise des surprimes.— DĂšs que j’ai ouvert la bouche pour demander une augmentation, je savais que j’avais frappĂ© un un nƓudEn plus de frapper un mur, on peut aussi frapper un nƓud. Cette expression tirerait son origine de l’univers des bucherons et des artisans du bois. En effet, ces derniers Ă©prouvent beaucoup de difficultĂ©s lorsqu’ils tombent sur des nƓuds dans le bois.Frapper ou tomber sur un nƓud» est Ă©quivalent Ă  frapper ou tomber sur un os».— Le PrĂ©sident Obama a frappĂ© un nƓud avec son projet d’assurance maladie.— L’industrie pĂ©troliĂšre vient de frapper un nƓud avec la chute des prix du pĂ©trole.— Durant l’entrevue d’embauche, j’ai frappĂ© un nƓud quand j’ai tentĂ© de leur faire croire que j’avais beaucoup d’ dĂ©couvrir d’autres expressions quĂ©bĂ©coises, n’hĂ©sitez pas Ă  visiter le lexique de la langue Ă  l’infolettre Inscrivez-vous Ă  notre infolettre newsletter pour recevoir, une fois par semaine, les nouveaux articles publiĂ©s sur Traduction du français au français. Je m’inscrisNous utilisons votre adresse courriel uniquement pour vous envoyer l’infolettre. Vous pouvez vous dĂ©sinscrire Ă  tout moment. NapolĂ©on I Il y a beaucoup Ă  dire de cet homme, inconnu au dĂ©but, hĂ©ro et figure nationale Ă  la fin. Contexte historique. La France est divisĂ©e par les rĂ©publicaines et les royalistes. C’est l’an de 1794, tout aprĂšs la rĂ©volution et presque d’entrer dans l’époque du directoire. L’objectif des royalistes Ă©tait imposĂ© une monarchie de nouveau. Alors, insurrections par toute la France se dĂ©roulaient et c’était le but de l’armĂ©e de les supprimer. Le dĂ©but de NapolĂ©on Son premier acte passe le 5 octobre 1795 13 vendĂ©miaire de l’an IV. Le commandant en chef de l'armĂ©e de l'intĂ©rieur, Paul Barras, fait appel au jeune et inconnu gĂ©nĂ©ral pour rĂ©primer une insurrection royaliste Ă  Paris. MĂ©contents des dispositions prises par la Convention "thermidorienne", qui visent Ă  empĂȘcher une restauration de la monarchie, les royalistes se rĂ©voltent. Une partie de la garde nationale et un groupe de sans-culottes prennent les armes. Mais la rĂ©pression et trop forte ce jour-lĂ , Bonaparte mitraille les insurgĂ©s royalistes sur les marches de l'Ă©glise Saint Roch, au cƓur de Paris. Choisi par Barras sur les conseils de sa maĂźtresse, JosĂ©phine de Beauharnais, l'action du futur empereur ce jour-lĂ  lui vaudra la main de la belle JosĂ©phine en mars 1796 et le commandement de l'armĂ©e d'Italie. Un peu sur son mariage. Bonaparte Ă©pouse civilement JosĂ©phine de Beauharnais Ă  la mairie du IIĂšme arrondissement de Paris. JosĂ©phine est crĂ©ole, elle a grandi en Martinique puis s'est mariĂ©e une premiĂšre fois en mĂ©tropole en 1779. Son dĂ©funt mari, le gĂ©nĂ©ral Alexandre de Beauharnais, lui a donnĂ© deux enfants, Hortense et EugĂšne. Deux jours aprĂšs son union, NapolĂ©on Bonaparte partira rejoindre son commandement Ă  Nice. La campagne en Italie Pour l'Ă©loigner de Paris le directoire lui donne le commandement d'une armĂ©e affamĂ©e et en guenille l'armĂ©e d'Italie. Bonaparte en fera l'outil pour la conquĂȘte du pouvoir. Promu le 2 Mars 1796 commandant en chef de l'armĂ©e d'Italie, il est chargĂ© de mener une guerre de diversion et de pillage dans le PiĂ©mont et en Lombardie, alors que l'offensive principal doit passer par l'Allemagne pour menacer Vienne Autriche alliĂ©e Ă  l'Angleterre. Il mĂšne une campagne foudroyante contre les troupes austro-piĂ©montaises. GrĂące Ă  son gĂ©nie militaire, il remporte victoire sur victoire en 1796 et 1797 Millesimo, Mondovi, Arcole et Rivoli. En prenant Venise, il s'ouvre les portes de Vienne et contraint l'Autriche et ses AlliĂ©s Ă  conclure la Paix traitĂ© de Campoformio, 17 Novembre 1797, par laquelle il fonde les RĂ©publiques sƓurs dans le Nord de l'Italie. Il sert sa propagande en publiant bulletins et journaux glorifiant ses exploits. L’expĂ©dition d’Egypte Les membres du Directoire, inquiets de la renommĂ©e croissante du jeune gĂ©nĂ©ral et des menĂ©es anglaises, cherchent Ă  Ă©loigner Bonaparte de Paris tout en utilisant ses talents militaires pour couper la route des Indes britanniques. Ils le nomment alors Ă  la tĂȘte de l'expĂ©dition d'Egypte mai 1798. Sur les traces de son rĂȘve oriental, bercĂ© par le souvenir d'Alexandre le Grand et de CĂ©sar, Bonaparte s'assure du contrĂŽle du pays Ă  la bataille des Pyramides 21 juillet 1798. LibĂ©rateur du joug mamelouk, il s'applique Ă  apparaitre comme administrateur consciencieux, s'associant aux notables locaux, dĂ©sireux de redonner Ă  l'Egypte l'image de son histoire, celle que redĂ©couvre l'expĂ©dition scientifique qu'il entraĂźne avec lui 167 savants il rapporte de l'Egypte de nombreuses Ɠuvres d'art dont la tombe d’Alexandre le Grand Alexandrie et la Pierre Rosette que Jean François Champollion a dĂ©cuivrĂ©. Mais l'amiral anglais Nelson, en dĂ©truisant la flotte française Ă  Aboukir aoĂ»t 1798, contraint Bonaparte Ă  faire vers la Syrie. Une Ă©pidĂ©mie de peste l'arrĂȘte devant Saint Jean d'Acre et, en apprenant les rĂȘves du Directoire en Italie et la confusion qui rĂšgne en France, Bonaparte dĂ©barque Ă  FrĂ©jus le 8 octobre 1799 et regagne Paris. Comme un petit fait curieux dans cette campagne il aura l’idĂ©e de faire un canal que raccorderait la riviĂšre Nil avec la mer mĂ©diterranĂ© aprĂšs voir une carte
 Tout avant la deuxiĂšme guerre mondiale il sera construit. La fin du directoire Il viendra avec un coup d’Etat. De retour de sa campagne d'Egypte, Bonaparte dĂ©cide avec l'aide de son frĂšre Lucien, prĂ©sident du Directoire et de SieyĂšs de "sauver la RĂ©publique" menacĂ©e par les royalistes et un retour de Louis XVIII. Le Directoire est rĂ©uni au chĂąteau de Saint-Cloud. Les dĂ©putĂ©s se refusent dans un premier temps Ă  modifier la Constitution en faveur du gĂ©nĂ©ral Bonaparte. C'est par la force qu'ils acceptent de nommer un gouvernement provisoire en la personne de trois Consuls, NapolĂ©on Bonaparte, Emmanuel Joseph SieyĂšs et Roger Ducos. Bonaparte devient trĂšs vite Premier Consul et la rĂ©alitĂ© des pouvoirs lui sont octroyĂ©s. L'image d'un dictateur se profile 9 novembre 1799. Le consulat Le Consulat une dictature qui met Ă  la rĂ©volution. Un nouveau gouvernement Ă©tabli le 18 Brumaire de l'an VIII, c'est Ă  dire, le 9-10 Novembre 1799. Ce gouvernement, Bonaparte le gouverne bientĂŽt Ă  lui tout seul. En effet, il dirige le consulat comme un dictateur. NapolĂ©on rĂ©dige une nouvelle constitution qui influença la forte personnalitĂ© du GĂ©nĂ©ral. Durant cette pĂ©riode l'administration locale, l'organisation de la justice et des finances reprĂ©sentent l'Ɠuvre la plus durable du Consulat. La puissance de Bonaparte ne fait que s'accroĂźtre, c'est ainsi qu'il ruine l'espoir de restauration des Royalistes. Durant le Consulat, NapolĂ©on crĂ©e l'administration de la France moderne en imposant l'autoritĂ© de l'Etat. NapolĂ©on concentre les pouvoirs en sa personne Premier Consul. NapolĂ©on centralise le pouvoir et nomme des prĂ©fets Ă  la tĂȘte de chaque dĂ©partement. La population a un rĂŽle politique diminuĂ©e, il l'a consultĂ© par le plĂ©biscite, ancĂȘtre du rĂ©fĂ©rendum. NapolĂ©on crĂ©e 27cours d'appel et une cour de cassation Ă  Paris. Il divise aussi le pouvoir lĂ©gislatif en quatre assemblĂ©e Le conseil d'Etat qui rĂ©dige les lois; le tribunat qui les discute; le corps lĂ©gislatif qui les vote et le SĂ©nat qui peut s'y opposer rĂ©viser la constitution. Durant cette pĂ©riode Bonaparte s'attaque Ă  l'Ă©conomie et fonde la Banque de France en 1800. Cette derniĂšre bĂ©nĂ©ficie du privilĂšge des maĂźtres du billet, et en 1803 elle se met Ă  crĂ©er une nouvelle monnaie le Franc germinal Le dĂ©but du premier empire NapolĂ©on deviendra le premier empereur de la France. Il commença le 18 mai 1804 quand NapolĂ©on est proclamĂ© par le sĂ©natus-consulte. Le plĂ©biscite du 6 novembre 1804 confirmera cette dĂ©signation. NapolĂ©on est sacrĂ© Empereur en la cathĂ©drale Notre-Dame de Paris par le pape Pie VII. Mais, le pape lui a dit qu’il devait ĂȘtre mariĂ© para l’église, NapolĂ©on le dira que il veut seulement la couronnement et que grĂące Ă  lui la religion est entrĂ©e a la France, alors, le pape a dĂ» accepter par une espĂšce de chantage. Il est rĂ©ellement sacrĂ© puisque le sacre consiste Ă  ĂȘtre oint par le saint-chrĂȘme ce qui fut fait effectivement par le pape aux endroits habituels pour les souverains. Ainsi, le fait qu'il plaça lui-mĂȘme la couronne au-dessus de sa tĂȘte n'a rien Ă  voir avec le sacre puisque la couronne n'est qu'un objet reprĂ©sentant le pouvoir impĂ©rial, tout comme le globe ou l'Ă©pĂ©e. NapolĂ©on devient aux yeux du peuple un chef d'État reprĂ©sentant Ă  la fois le consensus politique d'une nation et un monarque choisi et protĂ©gĂ© par la grĂące de Dieu. Toutefois, il est considĂ©rĂ© Ă  l'Ă©tranger comme l'hĂ©ritier d'une rĂ©volution fondamentalement antimonarchique. Cette ambiguĂŻtĂ© est sans aucun doute le point faible du rĂ©gime. Les batailles plus importantes L’empire NapolĂ©onienne s’est caractĂ©risĂ© pour l’expansion et ingĂ©nie militaire de l’Empereur. Pratiquement, toute l’histoire de NapolĂ©on est baissĂ©e aux batailles et le progrĂšs que ces conquĂȘts ont pris au pays. Ulm 20 octobre 1805 La menace autrichienne s'avance Ă  grands pas vers la France, et NapolĂ©on doit rediriger son armĂ©e vers la frontiĂšre opposĂ©e. Le gĂ©nĂ©ral Mack, commandant des forces autrichiennes, est plus que confiant. Il traverse l'Inn et s'aventure en Souabie prĂšs de Munich. L'Empereur vient de passer le Rhin et attaque le 25 septembre l'avant-garde ennemi, qu'il dĂ©truit. Ney, le 8 octobre, remporte une victoire difficile Ă  Gunzbourg. Mack dĂ©cide de se replier dans la forteresse d'Ulm, en attendant les renforts de Vienne. Ulm fut une grande victoire conduite avec gĂ©nie, l'armĂ©e autrichienne, forte de 80 000 hommes, Ă©tait postĂ©e en BaviĂšre, au dĂ©bouchĂ© de la ForĂȘt-Noire, et attendait les troupes de NapolĂ©on qui avait quittĂ© Boulogne. Mais le gros des forces françaises, avec une rapiditĂ© surprenante d'exĂ©cution, avait traversĂ© le Rhin beaucoup plus en aval que prĂ©vu, dans la rĂ©gion de Mayence, et se prĂ©senta sur les arriĂšres des Autrichiens. Ces derniers Ă©taient pris au piĂšge, enfermĂ©s dans l'Ulm, ils capitulĂšrent le 20 octobre 1805. 27 000 hommes et 8 gĂ©nĂ©raux dĂ©filĂšrent durant cinq heures devant NapolĂ©on qui s'Ă©tait placĂ© devant ses gĂ©nĂ©raux ; stupĂ©faits et admiratifs, certains Autrichiens criĂšrent Vive l'Empereur ». Austerlitz 2 dĂ©cembre 1802 AprĂšs sa brillante campagne en Autriche, NapolĂ©on continue la poursuite des armĂ©es autrichienne et prussienne vers le plateau de Pratzen. Il a maintenant peur du rapprochement austro-prussien, et la seule façon de l'Ă©viter est de gagner une victoire dĂ©cisive. Mais il ne dispose que de 55 000 hommes Ă  cet instant prĂ©cis, face Ă  85 000 austro-russes. Les ennemis, ayant appris ce dĂ©sĂ©quilibre numĂ©rique, arrĂȘtent de fuir et cherchent le combat. Il y a un petit affrontement Ă  Wischau, oĂč Murat, pourtant bien accompagnĂ©, se laisse surprendre. Cela redonne confiance aux autrichiens. La situation au premier dĂ©cembre, veille de la bataille, est la suivante Murat 8 000 hommes, Lannes 18 000 hommes, Bernadotte 5 500 hommes et Soult 12 000 hommes sont retranchĂ©s sur le plateau de Pratzen, NapolĂ©on et BessiĂšres sont derriĂšre, avec le reste des effectifs. Face Ă  eux, les gĂ©nĂ©raux Bagration, Liechtenstein et Constantin 75 000 hommes en tout se trouvent de l'autre cĂŽtĂ©, sur le versant. Les derniers 10 000 hommes s'opposent au corps de Davout. NapolĂ©on va alors mettre en place un plan stratĂ©gique, qui va se rĂ©vĂ©ler quasi imparable. NapolĂ©on dĂ©garnit volontairement son aile droite en ordonnant Ă  Davout de se retirer vers les marais, de façon Ă  y attirer le gĂ©nĂ©ral autrichien Buxhovden. NapolĂ©on sait parfaitement que les AlliĂ©s vont essayer d'envelopper l'ArmĂ©e sur l'aile droite pour lui couper la retraite. Le centre des alliĂ©s est ainsi dĂ©garni et les troupes commandĂ©es par Soult, appuyĂ©s par la cavalerie de Bernadotte, font soudain volte-face et franchissent le plateau tronçonnant ainsi les troupes Austro-Russes. Pendant ce temps, l'aile gauche française avec Lannes et Murat empĂȘche Bagration d'intervenir en organisant une grande charge de cavalerie. Ceux qui ne peuvent s'enfuir sont repoussĂ©s vers les marais oĂč les grenadiers français brisent la glace des Ă©tangs paralysant ainsi l'artillerie russe. La victoire de l'Empereur est totale, toutes les tactiques militaires qui se transmettent depuis des siĂšcles prĂ©conisant la domination des hauteurs et plateaux se trouvent chamboulĂ©es. Les pertes alliĂ©es sont de 11 000 Russes, 4 000 Autrichiens, 10 000 prisonniers russes, 1 600 prisonniers autrichiens, 186 canons et 45 couleurs rĂ©gimentaires. Les pertes françaises ne s'Ă©lĂšvent qu'Ă  1 300 morts, 7 000 blessĂ©s et 500 prisonniers ! AprĂšs la bataille, le brouillard se leva, et le soleil d'Austerlitz » fit grĂące Ă  l'Empereur. Les mots cĂ©lĂšbres de NapolĂ©on Ă  ses hommes ont Ă©tĂ© Soldats, je suis content de vous ». IĂ©na 14 octobre 1806 Presque un an aprĂšs l'Ă©clatante victoire d'Austerlitz, NapolĂ©on a trĂšs peur que la Prusse s'engage dans la guerre. Le problĂšme est que ce pays a une trĂšs bonne armĂ©e, beaucoup mieux encadrĂ©e que les armĂ©es autrichienne et russe. Cette crainte se concrĂ©tise malheureusement, et poussĂ© par son Ă©pouse Louise de Prusse, le Roi allemand dĂ©crĂšte le rĂ©armement. Partout en Prusse des jeunes gens s'enrĂŽlent, les industries tournent Ă  plein rĂ©gime. En deux semaines Ă  peine, l'armĂ©e est prĂȘte, toute fraĂźche et dĂ©terminĂ©e. NapolĂ©on rĂ©agit et place ses armĂ©es Ă  tous les points stratĂ©giques de l'Allemagne ; Ă  Mayence, Ă  Ulm, Ă  Francfort, les français placent leur campement et sont prĂȘts Ă  la contre-offensive. Le 7 octobre, le Roi de Prusse envoie un ultimatum Ă  l'Empereur, le sommant de quitter la Prusse et l'ensemble des Etats allemands de la future "ConfĂ©dĂ©ration du Rhin". NapolĂ©on refuse, l'affrontement est inĂ©luctable. Au petit matin, Augereau escalade la partie sud du plateau. Les Prussiens en profitent pour contre-attaquer mais l'infanterie française qui Ă©tait rĂ©fugiĂ©e dans les maisons ne tarde pas Ă  reprendre les armes. Plus tard, Ney arrive sur le champ de bataille, il organise une charge solitaire avec ses hommes, il prend des positions prussiennes mais il est bientĂŽt mis en danger, NapolĂ©on ordonne Ă  la cavalerie impĂ©riale et Ă  Lannes de dĂ©gager Ney. Pendant le repli prussien, le reste de l'armĂ©e française gravit le plateau et l'attaque gĂ©nĂ©rale est donnĂ©, les Français bĂ©nĂ©ficient de la position et de davantage d'hommes. La victoire est incontestable, 27 000 pertes prussiennes contre 5 000 françaises. Le mĂȘme jour, au Nord, Davout rĂ©alise un exploit en battant la garnison prussienne du duc de BrĂŒnswick qui pĂ©rit lors de la bataille avec des forces trois fois moins nombreuses. La Prusse s'incline devant l'Aigle. Eyleau 8 fĂ©vrier 1807 L'armĂ©e de l'Empereur, aprĂšs les incroyables victoires de IĂ©na et AuerstaĂ«dt, prend position sur les terres russes bientĂŽt polonaises aprĂšs le traitĂ© de Tilsit. Six mois de marches et de regroupements stratĂ©giques visant Ă  dĂ©truire l'armĂ©e d'Alexandre Ier pour obtenir la paix. Celle-ci, dĂ©jĂ  bousculĂ©e Ă  maintes reprises, s'est repliĂ©e en bon ordre derriĂšre la Vistule. Bennigsen, le commandant en chef des armĂ©es russes, a conçu un plan dĂ©moniaque, visant Ă  couper l'armĂ©e française en deux. Celle-ci d'Ă©tend de la Baltique Ă  Varsovie, avec Lannes et Murat en pointe. En dĂ©cembre 1806, les français ignorent toujours la position rĂ©elle de l'ennemi. Ce n'est que par hasard que les Ă©claireurs du 54Ăšme rĂ©giment d'infanterie du marĂ©chal Ney ont repĂ©rĂ© les feux des bivouacs russes. Ils ont mĂȘme dĂ©couvert que des rescapĂ©s prussiens de IĂ©na et AuerstaĂ«dt tout de mĂȘme 10 000 hommes sont prĂ©sents pour soutenir Bennigsen et ses troupes. Toute cette armĂ©e est maintenant cantonnĂ© dans la ville de Preussisch-Eylau. A l'aube le marĂ©chal Augereau Ă  la tĂȘte de l'infanterie lance une offensive mais une aveuglante tempĂȘte de neige le dĂ©vie de son but et ses divisions sont mitraillĂ©es Ă  bout portant, Augereau est griĂšvement blessĂ©. Pour sauver leurs compagnons, 8 000 cavaliers chargent Ă  plein galop derriĂšre le panache du marĂ©chal Murat, le plus grand cavalier de l'Empire », c'est la plus grande charge de cavalerie de l'Histoire. Pendant ce temps-lĂ , 4 000 grenadiers russes avancent vers le cimetiĂšre que gardait NapolĂ©on, elle se fait dĂ©cimer sans pouvoir riposter par la Garde française. Davout qui amĂšne des renforts tente de dĂ©border les Russes au sacrifice de nombreux efforts. C'est finalement l'arrivĂ©e de Ney en soirĂ©e apportant 9 000 hommes frais qui sera dĂ©terminante. Les Russes se dĂ©cident Ă  sonner la retraite. Cette bataille fut trĂšs indĂ©cise, Bennigsen dĂ©clarera au tsar Alexandre que c'est une victoire. NapolĂ©on objecte que Pour deux armĂ©es qui, pendant une journĂ©e entiĂšre, se sont fait d'Ă©normes blessures, le champ de bataille appartient Ă  celui qui, fort de sa constance, ne veut pas le quitter. Celui-lĂ  est incontestablement le plus fort ». Waterloo 18 juin 1815 Le 15 juin, soit trois jours avant la dĂ©faite la plus cĂ©lĂšbre de l'Empire, NapolĂ©on dĂ©cide de se porter sur Charleroi en Belgique, pour couvrir son flanc gauche menacĂ© par BlĂŒcher, le vieux et courageux gĂ©nĂ©ral prussien. Son plan d'attaque est dĂ©jĂ  Ă©tabli dans sa tĂȘte il va avancer sur le front avec trois colonnes de 50 000 hommes chacune. Mais la situation de l'armĂ©e est quelque peu dĂ©concertante, aucun des officiers n'ont vĂ©ritablement leur place les marĂ©chaux commandent des rĂ©giments, les gĂ©nĂ©raux des bataillons, et les colonels de maigres unitĂ©s. Mais il faut faire avec ce qu'on a, et NapolĂ©on est malgrĂ© tout confiant dans son armĂ©e aprĂšs tout, si il a rĂ©ussi Ă  revenir au pouvoir, pourquoi ne gagnerait-il cette guerre? Douze colonnes de cavaleries lourdes ouvrent la voie, mettant en dĂ©route les garnisons d'Ă©claireurs ennemis. L'armĂ©e française engage mĂȘme des mercenaires pour des actions de sabotage, dont la plus cĂ©lĂšbre est l'explosion du Fort Manteux, prĂšs de Charleroi, gardĂ© par les prussiens il y eut 1 500 morts et blessĂ©s. Mais NapolĂ©on sait aussi que les AlliĂ©s sont prĂšs Ă  en finir. Le seul moyen de signer un traitĂ© et de faire reconnaĂźtre lĂ©gitimement son titre est de dĂ©truire les dix armĂ©es ennemis... Une tĂąche trĂšs dĂ©licate! Le 16, dans le courant de l'aprĂšs-midi, la Garde tire les trois coups de canons indiquant le dĂ©but de l'offensive. NapolĂ©on envoie ses hommes enlever les forts prussiens dĂ©tenus par BĂŒlow. L'ennemi est timide et Ă©vite le combat en attendant le soutien anglais, personnifiĂ© par le terrible Duc de Wellington. La route des Quatre-Bras est Ă  prĂ©sente ouverte aux français, mais la cavalerie de Ney se fait durement accrochĂ© pendant l'affrontement, et le 14Ăšme rĂ©giment est totalement dĂ©truit. Dans la soirĂ©e, NapolĂ©on lance son attaque gĂ©nĂ©rale, mais les français piĂ©tinent toujours, contenus par les prussiens et les russes Ă  Wavre, en Belgique. Ayant battu les Prussiens Ă  Ligny et lancĂ© Grouchy Ă  leur poursuite 16 juin, NapolĂ©on laissa Wellington s'installer sur le plateau de Mont-Saint-Jean, mais gĂȘnĂ© par des tornades de pluie, il ne put attaquer le lendemain. Le 18 juin, Ney charge les troupes de Wellington qui subirent des pertes, mais conservĂšrent leur positions. L'arrivĂ©e des prussiens de BlĂŒcher Ă  noter que BlĂŒcher et Wellington communiquait en français qui Ă©tait la langue la plus parlĂ© en Europe dĂ©sempara les Français, qui attendait le retour de Grouchy. Ayant ordonnĂ© la retraite, NapolĂ©on laissa le commandement Ă  son frĂšre JĂ©rĂŽme et fit route Ă  Paris, cette dĂ©faite fut fatale Ă  l'Empereur. La coordination entre les marĂ©chaux Grouchy, Ney et l'Empereur Ă©tait dĂ©sastreuse, A Waterloo, Ă  commencer par moi, personne n'a fait son devoir » NapolĂ©on. Les diffĂ©rents ordres adressĂ©s par l'Empereur n'arrivĂšrent jamais ou trĂšs en retard. On raconte plusieurs choses Ă  propos de la bataille, le gĂ©nĂ©ral Cambronne qui commandait le dernier carrĂ© de la Vieille Garde, aurait eu une conduite hĂ©roĂŻque refusant de se rendre aux Anglais, il aurait prononcĂ© le fameux Merde ! », qui reste aujourd'hui attachĂ© Ă  son nom. Le gĂ©nĂ©ral ayant toujours dĂ©menti ce mot, on l'a habilement remplacĂ© par cette phrase qu'il n'a peut-ĂȘtre pas prononcĂ©e La Garde meurt mais ne se rend pas. » Quant au marĂ©chal Ney, face Ă  un carrĂ© anglais, il aurait prononcĂ© Ă  sa cavalerie Venez voir comment meurt un marĂ©chal de France ». Pour le cas de Grouchy, son retard sur le champ de bataille aurait dĂ©pendu d'un plat de fraises qu'il tenait Ă  finir avant de retourner au combat, Grouchy n'avait pourtant pas reçu d'ordre pour venir appuyer l'armĂ©e contre les Anglais au Mont-Saint-Jean. La fin de l’empire En fĂ©vrier 1814, l'Empire est en crise les gĂ©nĂ©raux de NapolĂ©on se rebellent et les forces alliĂ©es Royaume-Uni, Prusse, Russie, Autriche envahissent Paris. La bourgeoisie parisienne comme le peuple ne soutient plus l'Empereur. Le SĂ©nat proclame la chute de l'Empire et, le 6 avril, NapolĂ©on accepte d'abdiquer en faveur de Louis XVIII. Le 20 avril, il part en exil pour l'Ăźle d'Elbe. La toile de Monfort, inspirĂ© de l'Ɠuvre de Vernet, se situe dans la cour du Cheval Blanc. NapolĂ©on, au milieu de sa garde impĂ©riale, fait son adieu en costume militaire, bottĂ©, coiffĂ© de son cĂ©lĂšbre tricorne, Ă©pĂ©e sur la hanche. Fier, il ne laisse paraĂźtre aucun signe de faiblesse. En revanche, Delaroche se permet de le peindre abattu dans sa toile de 1845 les traits grossis, le ventre rebondi, NapolĂ©on est avachi sur une chaise. Pour une fois, la silhouette n'est pas composĂ©e l'Empereur est tĂȘte nue, dans un costume nĂ©gligĂ©. Le frĂȘle jeune homme de 1797 a laissĂ© place au petit homme bedonnant, rongĂ© par le pouvoir. Il avait prononcĂ© un discours qui montrait l'aspect [...]social des choses et jusqu'Ă  quel point on n'a pas le droit de laisser [...]pourrir des conflits, jusqu'Ă  quel point on n'a pas le droit de faire en sorte que l'Ă©quilibre des forces soit rompu entre patrons et syndicats dans un moment aussi pĂ©nible qu'une grĂšve. He made a speech which emphasized the social aspect [...]and the fact that we have no right letting disputes go unresolved and [...]no right upsetting the balance of power between management and labour at a time as difficult as the time of a strike. Le Directeur exĂ©cutif [...] a dĂ©clarĂ© qu'il avait prononcĂ© un discours devant [...]la confĂ©rence internationale "Initiative globale [...]sur les produits de base Se fonder sur des intĂ©rĂȘts partagĂ©s", organisĂ©e par le FCPB, le SecrĂ©tariat du Groupe des États d'Afrique, des CaraĂŻbes et du Pacifique Groupe ACP, la ConfĂ©rence des Nations Unies sur le commerce et le dĂ©veloppement CNUCED et le Programme des Nations Unies pour le dĂ©veloppement PNUD. The Executive Director said he had given an address at the [...]international conference "Global Initiative on Commodities Building [...]on Shared Interests", organized by the CFC, African, Caribbean and Pacific Secretariat ACP, the United Nations Conference on Trade and Development UNCTAD and the United Nations Development Programme UNDP. Avant les Ă©lections, une procĂ©dure en diffamation avait Ă©tĂ© engagĂ©e contre M. Rainsy qui avait accusĂ© des membres [...] du gouvernement en place d'avoir participer [...] au rĂ©gime des Khmers rouges, dans un discours qu'il avait prononcĂ© en avril 2008. Prior to the elections, defamation proceedings were initiated against Mr. Rainsy [...] following an April 2008 [...] speech in which he alluded to the participation of members of the current government [...]in the Khmer Rouge regime. Dans l'arrĂȘt, le PrĂ©sident de la Cour a critiquĂ© l'attitude de [...] l'auteur qui [...] n'avait pas voulu reconnaĂźtre d'emblĂ©e qu'il avait prononcĂ© l'intĂ©gralitĂ© des propos en question, dĂ©clarant [...]que l'auteur avait manquĂ© de franchise». In the judgement, the Chief Justice commented adversely on the author's conduct, due to his [...] failure to admit at the [...] outset that he had made the full statement in question and stated that he had displayed "a lack of candour". Parle-leur du rĂȘve, [...] Martin ! ». Il avait prononcĂ© un discours qui [...]incorporait certains des mĂȘmes passages Ă  DĂ©troit [...]en juin 1963, quand il avait marchĂ© sur l'Avenue Woodward avec Walter Reuther et le RĂ©vĂ©rend C. L. Franklin, et il en avait rĂ©pĂ©tĂ© d'autres passages. He had delivered a speech incorporating some [...]of the same sections in Detroit in June 1963, when he marched on Woodward Avenue [...]with Walter Reuther and the Reverend C. L. Franklin, and had rehearsed other parts. Je me souviens qu'il avait prononcĂ© un discours trĂšs [...]inspirant. I recall him giving a very inspirational speech. Je le priai de s'expliquer [...] davantage, car il avait prononcĂ© ces mots sur un [...]ton des plus graves. I asked what he meant by that, for he was very [...]serious. Dans le discours qu'il avait prononcĂ© en acceptant le Prix Nobel, Neruda a dit qu'il avait toujours cru en l'humanitĂ©, [...]qu'il n'avait jamais perdu espoir. In his acceptance speech for the Nobel Prize, Neruda said "I have always believed in mankind, I have never lost hope. Lors d'un banquet de la SSC, il y a [...] quelques annĂ©es, il avait prononcĂ© une allocution [...]intitulĂ©e Pourquoi je suis devenu [...]statisticien » entre la poire et le fromage. At an SSC [...] banquet some years ago, he gave the after-dinner [...]speech with the title "Why I became a statistician. Il aurait prononcĂ© un excellent [...]discours si c'Ă©tait justement ce que le gouvernement offrait, mais malheureusement, ce n'est pas le cas. He made a good speech if indeed [...]that is what the government is providing, but unfortunately the government is not. le 7 dĂ©cembre 2004, la Cour suprĂȘme a condamnĂ© M. Dissanayake en premiĂšre et derniĂšre instance Ă  une peine de deux ans de rĂ©clusion, aprĂšs l'avoir reconnu [...] coupable d'atteinte Ă  [...] l'autoritĂ© de la justice pour un discours politique qu'il avait prononcĂ© le 3 novembre 2003 dans une partie reculĂ©e du pays [...]et dans lequel il [...]contestait la compĂ©tence de la Cour suprĂȘme pour Ă©mettre un avis consultatif sur une question que lui posait la PrĂ©sidente d'alors de Sri Lanka et dĂ©clarait que son parti "rejetterait toute dĂ©cision Ă©hontĂ©e que la Cour prendrait"; le juge de la Cour suprĂȘme, dont M. Dissanayake et d'autres parlementaires avaient exigĂ©, par une motion du 4 novembre 2003, la destitution pour 14 motifs de faute professionnelle, prĂ©sidait le collĂšge de juges qui entendait sa cause On 7 December 2004, the Supreme Court sentenced Mr. Dissanayake at first and last instance to two [...] years' rigorous [...] imprisonment, having found him guilty of contempt of court in connection with a political speech he had made on 3 November [...]2003 in a remote part [...]of the country, disputing the competence of the Supreme Court to give an advisory opinion on a question put to it by the then President of Sri Lanka and stating that his party would not "accept any shameful decision" that the Court might give; the Chief Justice, whose removal on 14 grounds of misbehaviour Mr. Dissanayake and other members of parliament had demanded by motion of 4 November 2003, presided the panel hearing his case a Au Cap-Vert et au Portugal, si les dĂ©linquants toxicomanes qui ont Ă©tĂ© condamnĂ©s pour certaines infractions liĂ©es Ă  la drogue se soumettent volontairement Ă  un traitement enjoint par le tribunal, celui-ci peut prononcer le sursis Ă  l'exĂ©cution de la peine; si toutefois le toxicomane ne suit pas le traitement prescrit ou ne respecte pas d'autres [...] obligations imposĂ©es par le tribunal, celui-ci peut ordonner l'application [...] de la peine pour laquelle il avait prononcĂ© le sursis a In Cape Verde and Portugal, when drug-dependent offenders who have been convicted and sentenced for certain drug crimes voluntarily seek treatment in the manner specified by the court, the court may suspend punishment; if a drug addict fails to take the required [...] treatment or to fulfil any other duties imposed by the court, the [...] court may order the suspended punishment to be Il rappela un rĂ©cent discours qu'il avait prononcĂ© de­vant la communautĂ© juive de Varsovie, [...]dans lequel il parlait du peuple [...]juif comme d'un rappel Ă  la conscience dans le monde actuel et de la mĂ©moire juive de la Shoah comme un avertissement, un tĂ©moignage et un cri silencieux » Ă  l'humanitĂ© tout entiĂšre. He recalled a recent address to the Jewish community in Warsaw, in which he spoke of the Jewish [...]people as a force of conscience [...]in the world today and of the Jewish memory of the Shoah as "a warning, a witness, and a silent cry" to all humanity. Le Royaume-Uni a indiquĂ© Ă  la [...] Commission qu'il avait prononcĂ© une interdiction [...]d'exploitation immĂ©diate applicable aux appareils [...]de type Iliouchine IL-62 immatriculĂ©s CU-T1283 et CU-T1284 de Cubana de AviaciĂłn, en tenant compte des critĂšres communs, dans le cadre de l'article 6, paragraphe 1, du rĂšglement CE no 2111/2005. The United Kingdom communicated to [...] the Commission that it adopted an immediate operating [...]ban on the aircraft of type Ilyushin [...]IL-62 with registration marks CU-T1283 and CU-T1284 of Cubana de AviaciĂłn taking into account the common criteria, in the framework of Article 61 of Regulation EC No 2111/2005. Le ton sur lequel il avait prononcĂ© ces derniĂšres [...]paroles sans mĂȘme achever sa phrase avait quelque chose de propre Ă  vous [...]faire frĂ©mir d'horreur ; en mĂȘme temps, il eut un geste comme pour signifier qu'il s'en lavait les mains. But if you be not careful in [...] this respect, then," He finished his speech in [...]a gruesome way, for he motioned with his hands as if he were washing them. Lorsque la plainte a Ă©tĂ© reçue, le juge Binnie avait dĂ©jĂ  fait parvenir une lettre [...] d'excuses au doyen de la Osgoode Hall Law School, oĂč avait eu lieu le banquet au [...] cours duquel il avait prononcĂ© ces remarques. By the time the complaint was received, Mr. Justice Binnie [...] had already sent a letter of apology to the Dean of the Osgoode Hall Law [...] School, host of the banquet where he had spoken. Est-ce que c'est [...] arrivĂ© parce qu'il avait prononcĂ© ces paroles-lĂ ? Did this happen because he said those words? Dans le discours qu'il avait prononcĂ© Ă  l'ouverture [...]du Parlement, le PrĂ©sident du TurkmĂ©nistan s'Ă©tait focalisĂ© sur la poursuite [...]du processus de dĂ©mocratisation, la sociĂ©tĂ© civile, la nĂ©cessitĂ© de rĂ©former la lĂ©gislation nationale pour l'aligner sur la nouvelle Constitution et les dispositions des instruments internationaux ratifiĂ©s par le TurkmĂ©nistan. The President, in his statement at the opening [...]of the Parliament, focused on further developing the process of democratization, [...]civil society, the need to reform national legislation to bring it in line with the new Constitution and the provisions of the international instruments ratified by Turkmenistan. lieutenant-colonel Ă  l'École des sous-officiers, sur la base [...] d'un discours qu'il aurait prononcĂ© en mai 1994 au [...]centre commercial de Gikore, le Procureur [...]a prĂ©sentĂ© ses moyens de preuve du 17 au 22 juin 2009 en appelant Ă  la barre six tĂ©moins qui ont comparu devant les juges Byron PrĂ©sident, Kam et Joensen. for an alleged speech he gave in May 1994 at [...]the Gikore Trade Centre, the prosecution presented its case from 17 to 22 [...]June 2009, with six witnesses before Judges Byron presiding, Kam and Joensen. Dans le cas de Brian Michael John Young, le [...] PrĂ©sident de la Cour suprĂȘme, [...] Charles Blackie, a dĂ©clarĂ© qu'il avait prononcĂ© la peine d'emprisonnement la plus [...]longue de l'histoire [...]du territoire en raison du caractĂšre abominable des agressions commises contre des jeunes filles de 7 Ă  15 ans sur une longue pĂ©riode de temps au cours des annĂ©es 7013 . In the case of Brian Michael John [...] Young, Chief Justice [...] Charles Blackie said he was extending the sentence to the longest prison sentence yet [...]because of his abhorrent [...]attacks on girls aged from 7 to 15 over a long period of time in the A further New Zealand resident Pitcairner pleaded guilty to charges of indecent assault before the Pitcairn Supreme Court in November 2006. Le sacrifice de sa vie [...] accomplit prophĂ©tiquement les paroles qu'il avait prononcĂ©es quelques heures avant le drame dont [...]il a Ă©tĂ© la victime [...]innocente "Le rĂšgne de Dieu comporte des risques et ceux qui ont la force de les affronter en sont seuls les bĂątisseurs. The sacrifice of his life lives out the [...] prophetic words he delivered a few hours before the drama unfolded, in which he was the innocent [...]victim "The reign [...]of God involves risks; only those with the strength to face those risks can be its builders. Aux cĂŽtĂ©s d'autres organisations, ils ont constituĂ© un groupe Ă©quilibrĂ© [...] en termes d'origines ethniques et [...] gĂ©ographiques et de genre, et ils ont prononcĂ© un discours puissant, [...]invitant les Ministres Ă  Ă©couter les jeunes [...]et leur message de solidaritĂ© et d'urgence. Together with other organisations, they put together a balanced group in terms of geographical [...] and ethnic [...] background, as well as gender, delivering a powerful speech, asking [...]Ministers to listen to youth and to their message of solidarity and urgency. Signor Portante il avait prononcĂ© PortantĂ©, Ă  l'italienne, [...]en accentuant la deuxiĂšme syllabe, lei Ăš Italiano, no ? Signor Portante he pronounced it Portante in the [...]Italian way, accentuating the second syllable, lei Ăš italiano, no? Les paroles qu'il avait prononcĂ©es Ă  l'UNESCO lors [...]de la remise du Prix HouphouĂ«t-Boigny sont encore dans nos mĂ©moires [...] La paix s'Ă©difiera tout doucement, dans la vie de tous les jours, dans les petits gestes, dans les dĂ©tails insignifiants. The words he spoke at UNESCO at the award ceremony [...]of the FĂ©lix HouphouĂ«t-Boigny Peace Prize are still with us today "Peace [...]will be built slowly, day by day, through modest deeds, and countless spontaneous details. Bien qu'il n'ait prononcĂ© aucune dĂ©claration officielle [...]durant l'AnnĂ©e europĂ©enne, le Bureau europĂ©en des langues moins [...]rĂ©pandues EBLUL a fait une large publicitĂ© Ă  cette initiative auprĂšs de ses membres. Although no official declarations were made during the [...]European Year, the European Bureau for Lesser Used Languages gave [...]it a high visibility among its members. part des mĂ©dias et une demande visant Ă  ouvrir une enquĂȘte immĂ©diate. Lorsque la plainte a Ă©tĂ© reçue, le juge Binnie avait dĂ©jĂ  fait parvenir une lettre d [...] excuses au doyen de la Osgoode Hall Law School, oĂč avait eu lieu le banquet au [...] cours duquel il avait prononcĂ© ces remarques. By the time the complaint was received, Mr. Justice Binnie [...] had already sent a letter of apology to the Dean of the Osgoode Hall Law [...] School, host of the banquet where he had spoken. Je sais que la Chambre a Ă©tĂ© avisĂ©e du fait que l'honorable dĂ©putĂ© de Nickel Belt a retirĂ© les propos litigieux et prĂ©sentĂ© ses excuses Ă  tous les dĂ©putĂ©s Ă  la Chambre et, en [...] particulier, aux membres du comitĂ© permanent, relativement [...] aux paroles qu'il avait prononcĂ©es sous l'impulsion [...]du moment. I know that the House is aware that the hon. member for Nickel Belt has withdrawn the remarks complained of and has apologized to all [...] members of this House, especially to members of the standing [...] committee, for the language he used in the heat of the moment. S'agissant du point important soulevĂ© par le reprĂ©sentant de l'Italie, le Directeur gĂ©nĂ©ral a indiquĂ© [...] qu'il avait esquissĂ© sa propre [...] vision de l'UNESCO dans l'allocution qu'il avait prononcĂ©e devant la ConfĂ©rence gĂ©nĂ©rale aprĂšs [...]son Ă©lection. With reference to the important point raised by the representative of [...] Italy, the [...] DirectorGeneral said that he had outlined his own vision of UNESCO in the address he had made to the General [...]Conference after his election. Du reste, n'est-ce pas le PrĂ©sident Prodi, dans [...] son discours Ă  l'UniversitĂ© de Lublin, le plus beau peut-ĂȘtre qu'il ait prononcĂ© en tant que PrĂ©sident, qui a dit textuellement que "l'Ă©largissement [...]implique la nĂ©cessitĂ© [...]de repenser et refondre le pacte politique sur lequel est fondĂ©e l'Union" ? It was President Prodi, in what is probably [...] his best speech as [...] President which he delivered at the University of Lublin, who said and I quote, "European integration is dependent on a shared understanding of [...]what policy goals should be pursued in the Union".

il aurait prononcé son fameux mot à waterloo